Pré-inscriptions pour la rentrée 2025-2026
Henri Matisse, une maison d’école
Henri-Matisse est une maison d’école de sept classes du CP au CM2, seize classes au collège et douze classes au lycée préparant aux baccalauréats L, ES et S. Nous sommes associés par contrat avec l’État, nourris par une histoire originale dans le sillage de Madeleine Daniélou selon l’enseignement social de l’Église.
Nous accueillons chaque élève et sa famille en relation de confiance et de coresponsabilité, pour donner à chaque intelligence des chemins pour grandir, mais aussi pour faire grandir le goût de l’étude et inciter à la culture et à la création artistique.
Nous accompagnons toute la personne en favorisant le dialogue, en mettant en œuvre un suivi régulier et personnel.
Henri-Matisse, c’est aussi une maison d’école pour apprendre à vivre pour les autres en développant en chaque élève des qualités humaines, en formant des êtres responsables engagés dans la société et pour le monde.
Faisons dialoguer foi et connaissance dans une vie de l’esprit !
Culture et arts au cœur de l’établissement Henri Matisse
Sans négliger les autres domaines de la connaissance, l’établissement considère la culture artistique comme un axe important.
Grâce à elle, l’élève éduque sa sensibilité, apprend à nuancer son jugement et à respecter l’autre dans sa singularité et son originalité.
Henri Matisse associe les familles à cette proposition en les invitant à partager avec leurs enfants, certaines activités culturelles.
Henri Matisse : un projet d’éducation
Henri Matisse, établissement catholique en contrat d’association avec l’État, accueille tous les enfants, « sans distinction d’origine, de croyances ou d’opinion. Il dispense un enseignement tel que la liberté de conscience de tous les enfants y sera totalement respectée »*.
*Loi du 31 décembre 1959, dite Loi “Debré”
Henri Matisse en quelques chiffres
Primaire
7 classes du CP au CM2
Collège
4 classes par niveau
Lycée
4 classes par niveau
Le blog
Histoire d’une fondation
C’est à Lourdes, en novembre 1929, lors d’une journée de pèlerinage où elle pria « longuement à la grotte presque solitaire, pensant à toute la foule des enfants de France qui lui était comme présente » que Madeleine Daniélou eut la certitude intérieure qu’elle devait se lancer.
Il fallait faire quelque chose d’ordre éducatif dans les milieux ouvriers. Et déjà elle voyait quatre grands collèges à Paris aux quatre points cardinaux, et douze écoles en banlieue, en couronne autour de Paris.